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De ses nombreuses vies antérieures, on sait seulement qu’il fut l’un des éléphants d’Hannibal, celui qui portait la bibine et que à la révolution il fut chêne de la liberté au Lorroux Bottereau (Haute Vienne). Son éducation laissée aux soins d’un personnel nombreux mais fluctuant, il manifeste cependant très tôt des dons hors du commun. A l'âge de six ans, s’appuyant sur l’observation d’une balle de ping-pong il réinvente la mécanique ondulatoire et développe sa théorie des structures pararelatives. L’année suivante, il publie une étude qui fait toujours autorité sur la disjonction inconsciente du moi et du je. Parallèlement à ces travaux de recherches fondamentale, il met au point un procédé divergentiel de communication infraconceptuelle, et déploie ses talents dans des activités aussi variées que la culture des échelles en milieu aqueux, la métrabologie et la contemplation des systèmes animés. Il a fait sienne la devise de Léonard de Vinci : « Postquam morgitur ut scilicet » (« Si tu es emmerdé, plonges »). Président de nombreuses sociétés savantes et culturelles telles que : - La société des grands électeurs de Magdebourg et de Badwwurtemberg - L’amicale des souris de laboratoire - L’académie des idées et des techniques - Les adorateurs des fontaines. Psychopate émérite, schizophrène éminent, névrosé distingué, il marquera son époque, et par les idées, et par les faits. | |||||